Quelques fois sur le web on se surprend à tomber sur des articles qui semblent s'adresser personnellement à votre propre personne. Cet après-midi voilà l'email qui m'est ...apparu... pourtant classé dans mes spams il a suscité mon interêt !
"On imagine le trouble qu’il sème dans l’open space. Les femmes l’admirent et les hommes le jalousent. Dans son sillage aux effluves sauvages, elles se repoudrent et ils rêvent de faire copain. Sur son passage aux senteurs d’évasion, lorsqu’il se dirige vers le bureau du DRH, sa lettre de congé à la main, chacun rêve d’en faire autant.
Ce nouvel héros, c’est le cadre qui ose, celui qui démissionne, prend la tangente et se carapate pour s’en aller voir ailleurs, dans une autre entreprise. Comment ? Quoi ? Filer sa dém’ par les temps qui courent ? Démarrer dans un nouveau poste ? Se taper une période d’essai ? Faut être totalement inconscient. Ou débarquer d’Uranus. C’est qu’à l’extérieur, ça tombe comme à Gravelotte, ça défouraille pire qu’à Fort Alamo et ça napalme comme au Vietnam.
Les temps sont rudes et les baromètres économiques bloqués sur l’incertain. Du coup, les cadres en poste ne pensent qu’à une chose : y rester. Selon notre baromètre Ifop/Cadremploi.fr, ils étaient déjà une bonne moitié l’an passé à rejeter toute idée de bouger. Selon le même sondage réalisé en juin dernier, ils sont à présent 67 %. Plus majoritaires, tu meurs.
Mais voilà, il nous en reste 33% sur les bras. Ce qui nous fait tout de même un bon million de cadres suffisamment audacieux pour tenter l’aventure ailleurs.
Que certains collègues d’open space regardent avec envie. Et pendant un instant, un instant seulement, certains d’entre eux s’imaginent en train de rédiger leur lettre, d’organiser leur pot de départ, d’expliquer aux déjà ex-collègues tout le bien qu’ils leur souhaitent et gardant pour eux tout le mal qu’ils en pensent.
Avant de retomber sur leur clavier et sur tous ceux qui sont encore et toujours leurs collègues. Et de se demander comment le héros démissionnaire a fait. Evidemment, l’audace ne s’apprend pas. Pour tout le reste, il y a le tout nouveau site prêt-à-partir « C’est décidé, je quitte ma boite ». Un concentré de conseils et de témoignages pour réussir son départ. Alors ils vont le lire, le télécharger, se le garder. Et promis juré, un jour, ils l’utiliseront. Et les autres verront qu’eux aussi sont des héros d’aujourd’hui."
lie site de cadremploi est même allé jusqu'à créér un site web dédié à vous accompagner dans votre décision jequittemaboite.fr
C'est plutôt sympa de s'apercevoir que certaines décisions personnelles parfois difficile à prendre constituent aussi une certaine preuve d'hardiesse, d'intrépidité ou de témérité...
A qui le lira ;-)
"On imagine le trouble qu’il sème dans l’open space. Les femmes l’admirent et les hommes le jalousent. Dans son sillage aux effluves sauvages, elles se repoudrent et ils rêvent de faire copain. Sur son passage aux senteurs d’évasion, lorsqu’il se dirige vers le bureau du DRH, sa lettre de congé à la main, chacun rêve d’en faire autant.
Ce nouvel héros, c’est le cadre qui ose, celui qui démissionne, prend la tangente et se carapate pour s’en aller voir ailleurs, dans une autre entreprise. Comment ? Quoi ? Filer sa dém’ par les temps qui courent ? Démarrer dans un nouveau poste ? Se taper une période d’essai ? Faut être totalement inconscient. Ou débarquer d’Uranus. C’est qu’à l’extérieur, ça tombe comme à Gravelotte, ça défouraille pire qu’à Fort Alamo et ça napalme comme au Vietnam.
Les temps sont rudes et les baromètres économiques bloqués sur l’incertain. Du coup, les cadres en poste ne pensent qu’à une chose : y rester. Selon notre baromètre Ifop/Cadremploi.fr, ils étaient déjà une bonne moitié l’an passé à rejeter toute idée de bouger. Selon le même sondage réalisé en juin dernier, ils sont à présent 67 %. Plus majoritaires, tu meurs.
Mais voilà, il nous en reste 33% sur les bras. Ce qui nous fait tout de même un bon million de cadres suffisamment audacieux pour tenter l’aventure ailleurs.
Que certains collègues d’open space regardent avec envie. Et pendant un instant, un instant seulement, certains d’entre eux s’imaginent en train de rédiger leur lettre, d’organiser leur pot de départ, d’expliquer aux déjà ex-collègues tout le bien qu’ils leur souhaitent et gardant pour eux tout le mal qu’ils en pensent.
Avant de retomber sur leur clavier et sur tous ceux qui sont encore et toujours leurs collègues. Et de se demander comment le héros démissionnaire a fait. Evidemment, l’audace ne s’apprend pas. Pour tout le reste, il y a le tout nouveau site prêt-à-partir « C’est décidé, je quitte ma boite ». Un concentré de conseils et de témoignages pour réussir son départ. Alors ils vont le lire, le télécharger, se le garder. Et promis juré, un jour, ils l’utiliseront. Et les autres verront qu’eux aussi sont des héros d’aujourd’hui."
lie site de cadremploi est même allé jusqu'à créér un site web dédié à vous accompagner dans votre décision jequittemaboite.fr
C'est plutôt sympa de s'apercevoir que certaines décisions personnelles parfois difficile à prendre constituent aussi une certaine preuve d'hardiesse, d'intrépidité ou de témérité...
A qui le lira ;-)
